• 26 juin : déclaration du BN du POI

    Nous y serons pour aider à créer les conditions politiques pour que les travailleurs, la jeunesse et l’écrasante majorité de la population laborieuse s’unissent avec leurs organisations par les moyens de la lutte des classes, les manifestations, par la grève, toutes professions unies, pour bloquer le pays et avoir toutes les chances de faire reculer Macron et son gouvernement... 

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  • Macron et ses ministres ont beau répéter sur tous les tons, les uns après les autres, qu’ils ne reviendront pas sur leur réforme destructrice, rien n’y fait.

    Jour après jour, les cheminots sont toujours là, unis, déterminés, malgré certaines initiatives (et aussi absences d’initiatives) qui ont soulevé et qui continuent de soulever parmi eux des interrogations très légitimes.

    Une chose est sûre : la fin du statut, la transformation de la SNCF en société anonyme (prélude à la privatisation), l’ouverture à la concurrence, toutes ces mesures regroupées dans le « pacte ferroviaire » gouvernemental, les cheminots n’en veulent pas, ils n’en démordent pas, c’est aussi simple que cela.

    Cette volonté, les cheminots l’expriment par la grève, c’est-à-dire de la seule manière qui puisse faire plier le gouvernement.

    C’est aussi pour cela que, aux yeux de tous les travailleurs, le mouvement des cheminots a une si grande signification ; ils savent que le gouvernement voudrait bien dans la foulée s’attaquer à toute la fonction publique et démanteler tous les régimes de retraites.

    Y. L. 


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  • Ils matraquent, ils assassinent,

    mais de Gaza à Ramallah,

    Vive le peuple de Palestine !

    Palestine... 

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  • Inquiétudes grandissantes...

    Inquiétudes grandissantes sur l’isolement du pouvoir

     

    À l’occasion de l’anniversaire de l’arrivée de Macron à l’Élysée, de nombreux commentateurs s’inquiètent de la « brutalité de la gouvernance » du président, entendez par là sa propension à imposer sa politique sans négociation préalable, y compris aux interlocuteurs les mieux disposés. Même le secrétaire de la CFDT, Laurent Berger, qui souhaite la « réussite » de Macron, s’en alarme dans une interview au journal financier Les Échos : « Cela va faire monter les radicalités et la violence dans la société et le chef de l’État va se retrouver seul au moment du bilan. » Traduisons : qui protégera Macron en cas d’explosion sociale, que beaucoup estime inévitable ? qui la canalisera ? Telle est leur inquiétude à tous.

    Dans Le Monde (5 mai), l’ancien grand patron Louis Galois, flanqué de responsables de différentes ONG d’obédience catholique, avertit lui aussi : « Changer la société ne se décrète pas d’en haut, sans le public concerné et sans les corps intermédiaires. »

    Selon les derniers sondages, près de 60 % des Français, toutes catégories sociales confondues, ne font pas confiance à Macron. L’éditorialiste des Échos (4 mai) alerte sur « l’incompréhension profonde de l’opinion »…

    Le résultat du référendum à Air France, quelques jours plus tard, a confirmé leurs craintes à tous.

    Y. L. 


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